Mi-figue, mi-kiwi...
Une journée en demi-teinte hier (Ah ! Les ados !)
L'écriture dans ces moments là devient compliquée, ardue.
Lorsque je simplifie l'image autour de moi, j'emploie cette expression pour résumer :
écrire "Oui-Oui au pays des Bisounours" demande un minimum de préparation et surtout de bonnes dispositions...
Si vous ne plongez pas et ne vous donnez pas à votre futur texte, passez votre chemin !
Le résultat a de grandes chances d'être médiocre. Hier, ce fut le cas !
Dans ces moments là, j'en viens à me questionner sur mes choix professionnels. Mais heureusement, l'écriture reste vitale...
Et un oui éditorial est venu réhausser cette journée en demi-teinte (alors, de quoi se plaint-il ?)
Extrait du matin ?
Un texte à choix multiples paru dans un hors série du magazine Zaza Mimosa (Milan presse).
Le prénom de l'héroïne est un clin d'oeil à la fille de mon amie auteur Béatrice Egémar
(oui, je déteste le "e" à auteur, autant mettre un "h")
Le challenge était également ardu. A l'époque, Josy Laguna, la rédactrice en chef du magazine m'a demandé si je me sentais capable d'écrire une histoire à partir d'une série de photos d'objets ou de décors.
J'ai répondu oui illico et n'ai saisi la complexité du challenge qu'une fois au coeur d'un texte multicolore
(Car j'employais des codes couleurs pour écrire le texte, les fausses pistes, les croisements, un vrai labyrinthe pour ces trois histoires différentes)
Mais je ressigne sans hésiter pour recommencer !